Date : | 19/11/2017 | Difficulté : | Facile |
Accompagnateur : | F & J. Girel | Coordonnées UTM : | |
Participants : | 8 | Départ : | 31T 687553 4908676 |
Longueur : | 8,2 km | Pique Nique : | N/A |
Dénivelée : | 300 m | Difficulté IBP index : | |
Carte IGN TOP 25 n° : | 3139 OT Nyons | ||
Position par rapport à Buis-les-Baronnies : | 10 km NE |
Commentaires techniques :
Au départ du parking de la chapelle N.D. des Champs (cote 624), descendre la route sur quelques mètres et tourner à gauche sur la piste direction Est (suivre le panneau jaune). A hauteur de la ferme du Plan Lozan, dans la fourche, prendre le chemin montant à gauche direction sud. A la cote 649, monter à gauche, direction Est.
Passer devant la ferme de Justillanne (cote 763). Continuer sur un kilomètre environ et après deux lacets en descente, tourner à gauche sur un chemin plus étroit un peu caché dans la végétation (repère : une ancienne bergerie sur la droite du chemin que l’on quitte), que l’on suit sur un kilomètre environ, direction nord. Après quelques mètres sur le goudron, on arrive au Col de Peyruergue.
Tourner à gauche, à l’ouest, en suivant le panneau jaune (cote 794) indiquant le Col d’Anjuan. Montée un peu rude sur un kilomètre pour atteindre le col. Redescente à l’ouest jusqu’au point de départ.
Jack Girel
Compte-rendu :
La météo est au beau fixe en cet après-midi d’automne. Sept personnes seulement au rendez-vous de Buis. Nous démarrons la randonnée sur la piste ensoleillée et devons vite enlever quelques épaisseurs car la température est vraiment très clémente. Un peu après la cote 649, nous sommes rejoints par une Randouvèzienne retardataire. Nous arrivons à la ferme de Justillanne où un panneau commémoratif rappelle que ce lieu servait d’abri aux maquisards des Baronnies entre 1943 et 1944.
Nous poursuivons notre chemin tranquillement. Le paysage s’étend au loin, très vaste, avec la Montagne de Chamouse fermant la vallée. Des pétarades de motos, hors du parcours, attirent notre attention ; nous constatons qu’un terrain a été spécialement aménagé pour permettre aux amateurs de se faire plaisir, sans abimer les chemins.
Nous atteignons la route fraîchement goudronnée au niveau du Col de Peyruergue et la quittons après quelques pas seulement pour attaquer le raidillon qui conduit au Col d’Anjuan. Ce tronçon, resté dans l’ombre, garde encore quelques traces de la neige tombée il y a quelques jours sur les hauteurs. Nous retrouvons le soleil au col pour une petite halte «goûter».
La descente est raide pendant quelques centaines de mètres ; le panorama est splendide sur les sommets ensoleillés ; les bavardages vont bon train comme il se doit. Nous pouvons même dire que Randouvèze propose des sorties linguistiques : aujourd’hui, l’une perfectionne son français, l’autre son anglais.
Nous retrouvons notre point de départ juste au moment où le soleil bascule derrière les montagnes. Randonnée de 2H.45.
Françoise Girel