Date : | 12/05/2024 |
Difficulté : | Modérée |
Accompagnateur : | Georges |
Coordonnées UTM : | |
Participants : | 9 |
Départ : | 31T 0668110 4929308 |
Longueur : | 10,8 km | Pique Nique : | 31T 0666073 4927080 |
Dénivelée : | 440 m | Difficulté IBP index : | 42 |
Carte IGN TOP 25 n° : |
3138 OT & 3139 OT |
||
Position par rapport à Buis-les-Baronnies : | 45 km N |
Commentaires techniques :
Cette randonnée est décrite dans le TopoGuide® « La Drôme Provençale … à pied » et dans les fiches « Les Bons Plans » de la Drôme, au départ de Montjoux, et plus précisément de « La Paillette », hameau principal de la commune avec la mairie, l’école, restaurant et bar …
Pour éviter une fin de rando sur le goudron de la D330, j’ai modifié le point de départ en le situant au parking de l’école, salle des fêtes, espace public, etc … Et le retour s’effectue à partir du point indiqué Montjoux, en traversant le pont – gué sur le Lez direction Barjol, puis en longeant le Château de Montjoux par la D130. Juste après le château, un sentier balisé et herbeux mène jusqu’au cimetière et il reste environ 500 m à parcourir le long de la route pour retrouver le parking.
Nous avons marché pendant 3h41mn à une vitesse moyenne proche de 3 km/h. Pour profiter des paysages, nous nous sommes arrêtés pendant 2h20mn, et la moyenne globale s’affiche à 1,8 km/h.
La pente moyenne en montée est de 9,7 %, et plus « cool » à la descente, puisque de 7,6 %.
Georges.
Compte-rendu :
Cette randonnée parcourt une partie des bois de la Lance. Le sentier – support aussi du GRP® du Tour du Pays de Dieulefit – remonte une longue combe couverte de bois composés de chênse pubescents, de pins sylvestres, de buis et de quelques vieux châtaigniers. Les ruines, comme celle de Rouvier (809 m d’altitude), dispersés sur les pentes de la Lance, racontent l’occupation humaine du siècle dernier. Après leur abandon, les pâturages se sont colonisés de genêts cendrés, puis de bois clairs. En altitude, à partir du col de Marot (alt. 771 m), le hêtre (fayard de son appellation locale) impose sa haute futaie sur les pentes fraîches, accompagné de rares sapins en voie d’extinction.
Nous avons admiré les grappes dorées de la cytise jaune (ou Laburnum), éclat vif dans le vert tendre de la végétation. Nous pouvons recommander le bord du bois, face à la prairie descendante au col Imbert comme lieu de pique-nique...
Et face à nous – avec nostalgie pour certains – se dresse la Montagne de Miélandre du haut de ses 1451 m. D’après notre site, la dernière rando à Miélandre daterait de mai 2015 … 14 km, 1150 m de dénivelée, avec un compte-rendu détaillé écrit par notre ami Gérard Langlois.
A qui le tour pour nous mener vers les pâturages de ce beau sommet ?
Georges.